DES OEUVRES DU MUSEE DE LA VIE FRONTALIERE EXPOSEES

Le 29 juillet 2009Indicateur 2009

Des oeuvres du musée de la Vie Frontalière exposées

Jusqu’au 10 janvier 2010, le prestigieux musée de la vie portuaire à Dunkerque propose « Entre deux rives, le détroit du Pas-de-Calais », un parcours inédit dans l’histoire et le présent de ce haut lieu du trafic mondial.

La conservatrice en chef du musée portuaire a contacté le musée de la vie frontalière de Godewaersvelde pour le prêt de deux tableaux (huiles sur toile) du 19e siècle : le sentier du douanier (du côté des caps Blanc et Griz-nez et les Smoggleurs anglais sur le départ dans le Kent), Ces tableaux ont été acquis par l’association « Hier, en Flandre, douane et fraude » il y a quelques années et remis en dotation définitive au musée en 2008.

Ils représentent un épisode de l’épopée napoléonienne. Pendant le règne de Napoléon, ses démêlés avec les anglais et le blocus continental n’interrompirent jamais les « affaires ». Mieux, Napoléon légalisa le smogglage par certains ports nommément désignés de la Manche et de la Mer du Nord. La guerre maritime n’arrêta jamais non plus le fraudeur anglais (smoggleur) : les ports français lui seront même ouverts, et plus d’une fois les batteries nationales l’ont protégé contre les croiseurs anglais.

Un lit d’embuscade présentant un douanier en veille avec sa peau de mouton est également prêté par le musée de Godewaersvelde.



PIERRE ET GISELE ONT RENOUVELE LES VOEUX, 60 ANS APRES

Le 29 juillet 2009Indicateur 2009

Pierre et Gisèle ont renouvelé les voeux, 60 ans après

Absent ce jour, le maire de la commune, Antoine Vermeulen, regrettait de ne pas être venu à double titre, en tant que voisin du couple et en tant qu’édile.

L’histoire des mariés a commencé dans un café, celui de leur amie Micheline. Mariés le 26 février 1949 à Bailleul, Pierre et Gisèle n’étaient alors âgés que de 19 et 20 ans.

Puis viendra la naissance de leur premier enfant Jenny. Pierre est électricien et son travail le tient éloigné de son foyer et de ses deux filles. Il saisit alors une opportunité et s’associe avec son frère Jean dans le négoce de bétail. Puis Gisèle a aussi une opportunité, celle de reprendre un café. Elle la saisit au bond et toute la famille arrive à Godewaersvelde en 1964. Au même moment, Monsieur s’installe à son compte et le café devient le siège du club de football. L’activité cesse en 1994. Gisèle et Pierre profitent donc de leur retraite et de leurs petits-enfants et même de leurs arrières-petits-enfants.

Soixante ans après, le couple revient d’une lune de miel passée aux Baléares. Rendez-vous est pris avec le conseil municipal dans dix ans.



UNE MOTARDE BRUGEOISE DE 45 ANS PERD LA VIE ENTRE CALLICANES ET ABELE

Le 27 juillet 2009La Voix du Nord édition d’hazebrouck

Une motarde brugeoise de 45 ans perd la vie entre Callicanes et Abele

Hier aux alentours de 15 h 30, un dramatique accident de la route s’est produit sur la D 948, sur le territoire de Godewaersvelde, à une trentaine de mètres de la frontière.

Le long de la paisible route, l’hébétude se lit sur tous les visages. Comment une participante de ce rallye touristique a-t-elle pu trouver la mort en plein ligne droite, sur une route sèche, alors que ni la vitesse, ni l’alcool ne semblent en cause ?

D’après des témoignages recueillis sur place, un banal moment d’inattention aurait semé la désolation dans ce groupe de motards originaires de la région de Bruges.

Vers 15 h 30, la dizaine de pilotes roule sur la D 948, peu après le poste frontière de Callicanes, en direction de la Belgique. Le fléchage, discret, apposé sur un panneau de signalisation, indique de tourner à gauche vers Abele. Un premier motard s’aperçoit du changement de direction au dernier moment.

Il pile, la moto juste derrière ne peut éviter le choc.

L’homme sortira indemne de la collision, malgré une lourde chute contre un portail. L’issue est tragique pour la motarde. Éjectée, elle est projetée contre un arbre, sous les yeux de son mari. La moto glisse sur une centaine de mètres.

Les tentatives des pompiers de Steenvoorde et de Poperinge pour ramener cette Brugeoise de 45 ans à la vie resteront vaines. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Steenvoorde.



DE BAILLEUL AU PIED DU MONT DES CATS, SOIXANTE ANNEES DE BONHEUR

Le 29 juillet 2009La Voix du Nord édition d’Hazebrouck

De Bailleul au pied du mont des Cats, soixante années de bonheur

Samedi dans la salle des mariages, Gérard Maris, Nathalie Caremelle, Marie-Noëlle Deheeger et Serge Soodt, adjoints au maire, ont fêté les noces de diamants de Pierre André Urbain-Geloen et Gisèle Manizou-Leuridon.

À l’occasion de leurs noces d’or en 1999, les jubilaires avaient pris date pour les noces de diamant : ce rendez-vous a été honoré samedi.

L’histoire a débuté dans un café de Bailleul où les tourtereaux se sont rencontrés. Pierre-André Geloen est électricien. Le courant passe très vite entre lui et Gisèle. Ils se marient le 26 février 1949 à Bailleul à l’âge de 19 et 20 ans. Deux filles viennent agrandir le cercle familial.

Gérants du Pignon blanc

Pour se rapprocher de son foyer, Pierre Geloen s’associe avec son frère dans une entreprise de négoce de bestiaux. En 1964, le couple arrive à Godewaersvelde où Gisèle reprend un débit de boisson (Le Pignon blanc). Cette même année, Pierre se met à son compte dans la même activité. Il s’engage dans le milieu associatif, dans les clubs de football et de pétanque. Il devient vice-président des archers en 1990 et trésorier des deux autres clubs. Au fil des années, il se met en retrait pour laisser la place aux jeunes.

Rendez-vous

D’autant que la famille s’étoffe et demande beaucoup d’attention : les petits et arrière petits-enfants arrivent : Aurélie, Elodie, Mélanie, Vincent, Camille, Capucine, Aurélien, Hugo, Apolline occupent une grande partie de leur temps. Il ne leur reste aujourd’hui qu’à profiter de la vie, « à cultiver l’art de vivre à deux », a observé Marie-Noëlle Dehegeer. Un nouveau rendez-vous a été fixé pour 2019.



VALENTINE, CLOTHILDE, MATHILDE : TROIS BACHELIERES EXEMPLAIRES

Le 15 juillet 2009Indicateur 2009

Valentine, Clothilde, Mathilde : trois bachelières exemplaires

Elles sont trois. Non, il ne s’agit pas des « trois drôles de dames » mais de trois lycéennes de la Cité scolaire à Hazebrouck, trois copines dans la même classe.

Et c’est à trois qu’elles ont obtenu leur baccalauréat, avec une mention « Très bien »… pour toutes les trois. Et les meilleures moyennes de la promotion 2008-2009 de l’établissement scolaire. Valentine Lermyte (17 ans, Hazebrouck), Clothilde Lebrun (18 ans, Godewaersvelde) et Mathilde Taffin (17 ans, Winnezeele) n’auront pas eu leur diplôme dans l’anonymat. Impossible avec de telles notes. La première a décroché le fameux sésame avec une moyenne de 19,26/20, la deuxième avec 18,28/20 et la troisième avec 18,10/20. Bien évidemment, ces trois lycéennes pensaient bien l’avoir, avec une mention, mais pas celle-ci. « Je me doutais que j’allais l’avoir mais je ne m’attendais pas à une moyenne si haute. J’espérais la mention, même s’il ne faut pas s’avancer », déclare Valentine, la majore de son lycée qui a recueilli quatre 20/20, notamment en mathématiques, sciences de la Vie et de la Terre (SVT) et latin. Mais sa plus grande surprise se place dans le sport. « J’ai eu 18 et je ne m’y attendais pas du tout car d’ordinaire, je ne suis pas très sport. » Qu’en aurait-il été si cela avait été le cas ?..

(suite…)



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